Marina de Sousa e Silva

Ayant un passé tumultueux, Marina de Sousa e Silva doit développer des stratégies pour solidifier sa santé mentale.

Verbaliser son passé contribue à son bien-être. S’entourant de gens de qualité, elle comprend que demander de l’aide est une preuve de force, pas un signe de faiblesse. Mais les défis sont grands pour une immigrante. Pour ses 20 heures de cours par semaine, elle travaille 30 heures tout en apprenant le français. Pour briser l’isolement, elle s’investit dans des troupes de théâtre amateur. Devenant maman durant ses études, elle doit surmonter d’autres obstacles, comme le refus de certains stages en Intervention en délinquance jugés dangereux. Faisant fi de cette xième limitation, elle décroche un stage à l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, créant un partenariat entre l’institut et son collège.

Depuis maintenant 11 ans au Canada, Marina ne peut qu’être fière de tous ses accomplissements, et ce, dans sa cinquième langue!